- Présentation
- Recherche
- DGG : Département Génomique et Génétique du Développement
- REGARN : Les ARN non-codants, des acteurs de la plasticité développementale de la racine
- ChromD : Dynamique des chromosomes
- SILEG : Voies de signalisation contrôlant le développement du système racinaire des légumineuses
- FLOCAD : Développement floral et déterminisme du sexe
- Qlab : Equipe Génomique et épigenomique quantitative des plantes
- DPHYS : Département Physiologie et Signalisation
- PMIN : Département Interactions Plantes Micro-organismes et Réseaux
- DGG : Département Génomique et Génétique du Développement
- Enseignement
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- Bases de données
Symbiose et immunité
Équipe SYMUNITY / Pascal Ratet
Les plantes interagissent avec une grande diversité de microorganismes, certains étant bénéfiques et d'autres nuisibles (pathogènes). Les associations bénéfiques comprennent les symbioses fongiques et bactériennes, mais aussi les interactions avec des microorganismes bénéfiques comme les rhizobactéries PGPR (Plant Growth Promoting Rhizobacteria) ou des champignons du sol favorisant la croissance des plantes ou stimulant leurs défenses lors d'attaques par des agents pathogènes. L'association avec des rhizobia, bactéries fixatrices d’azote, est limitée principalement aux légumineuses.
Les travaux de l’équipe SYMUNITY portent sur les mécanismes régissant les interactions plantes-microorganismes bénéfiques et le rôle de l'immunité des plantes dans ces interactions.
Les systèmes biologiques utilisés sont :
- des légumineuses / rhizobiums/ endophytes, des légumineuses / rhizobiums / agents pathogènes
- Brachypodium distachyon (espèce modèle des céréales tempérées) ou le blé / endophyte / agents pathogènes des céréales
Nos travaux ont pour but d’identifier d'éventuels mécanismes moléculaires communs régissant ces interactions et d’envisager leur exploitation pour améliorer le bénéfice des interactions bénéfiques pour la plante.
La compréhension de ces interactions multipartites aidera à mieux comprendre les interactions complexes auxquelles les plantes sont confrontées dans les champs ou dans la nature. Ces études peuvent donc aider à transposer nos recherches aux plantes cultivées.