- Présentation
- Recherche
- DGG : Département Génomique et Génétique du Développement
- REGARN : Les ARN non-codants, des acteurs de la plasticité développementale de la racine
- ChromD : Dynamique des chromosomes
- SILEG : Voies de signalisation contrôlant le développement du système racinaire des légumineuses
- FLOCAD : Développement floral et déterminisme du sexe
- Qlab : Equipe Génomique et épigenomique quantitative des plantes
- DPHYS : Département Physiologie et Signalisation
- PMIN : Département Interactions Plantes Micro-organismes et Réseaux
- DGG : Département Génomique et Génétique du Développement
- Enseignement
- Plateformes
- Bases de données
Une nouvelle équipe à l'IPS2
La nouvelle équipe dirigée par Leandro Quadrana rejoindra le département de Génétique et Génomique du Développement (DGG) pour étudier la contribution des variations génomiques et épigénomiques à la diversité des plantes. Qu’est-ce qui rend chaque individu unique ? Comment la diversité est-elle créée et maintenue au sein des espèces ? L’ADN peut-il se modifier en fonction de l’environnement ? Le potentiel d’adaptation évolue-t-il ? Autant de questions fondamentales en biologie qui restent ouvertes et ont inspiré de nombreuses générations de chercheurs, dont la mienne. Dans le laboratoire de Génomique et d'Epigénomique Quantitative des Plantes (Q-Lab), nous étudions comment les nouvelles variations génétiques et épigénétiques se produisent et contribuent aux changements phénotypiques héréditaires. L’avènement des technologies de séquençage à haut débit nous permet de d’accéder au génome complet de milliers d’individus et d’identifier ce qui rend chaque génome unique. Il est maintenant clair que la partie la plus variable des génomes concerne les éléments transposables, qui sont des séquences d’ADN qui peuvent se déplacer d’un endroit à un autre du génome. Nos recherches actuelles visent à élucider ce qui les fait se mobiliser en premier lieu, ainsi que leur contribution à l’évolution des espèces. En particulier, nous explorons le rôle potentiel des mutations induites par les éléments transposables dans l'adaptation rapide des populations à des changements environnementaux drastiques, tels que le changement climatique en cours, ainsi que dans la diversification des cultures. À cette fin, nous utilisons des approches moléculaires, génétiques et informatiques pour caractériser de très grandes populations de plantes sauvage ainsi que de plantes ayant des perturbations génétiques ou épigénétiques précises.
Le Q-Lab
08 Décembre 2021