- Présentation
- Recherche
- DGG : Département Génomique et Génétique du Développement
- REGARN : Les ARN non-codants, des acteurs de la plasticité développementale de la racine
- ChromD : Dynamique des chromosomes
- SILEG : Voies de signalisation contrôlant le développement du système racinaire des légumineuses
- FLOCAD : Développement floral et déterminisme du sexe
- Qlab : Equipe Génomique et épigenomique quantitative des plantes
- DPHYS : Département Physiologie et Signalisation
- PMIN : Département Interactions Plantes Micro-organismes et Réseaux
- DGG : Département Génomique et Génétique du Développement
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Dr. Jérémie Bazin, recruté à l’IPS2 en tant que chargé de recherche INRAE
Jeremie Bazin est chargé de recherche (INRAE) au sein de l'unité IPS2 (Institut des Sciences des Plantes - Paris-Saclay, UMR 9213 UPSaclay/CNRS/INRAE). Il a été recruté en Mai 2021 dans l’équipe de Martin Crespi.
Après ses études en Biologie et Physiologie Végétale, il a effectué sa thèse de doctorat entre 2007 et 2011 à l’Université Pierre et Marie Curie (Paris) sous la direction de Christophe Bailly. Ses recherches portaient sur les régulations post-transcriptionelles de l’expression des gènes qui contrôlent la dormance des semences.
Suite à son doctorat, il a continué ses recherches sur les mécanismes de régulation de l’expression des gènes des plantes, et s’est orienté vers l’étude de la fonction des ARNs non codants au cours de la réponse des plantes à leur environnement. Après un séjour post doctoral dans le groupe de Julia Bailey-Serres à l’université de Californie, Riverside (grâce à une Bourse Marie-Curie « Outgoing Fellowship »), il a été recruté comme chercheur contractuel de UP Saclay à l’IPS2, puis finalement en tant chargé de recherche INRAE.
Aujourd'hui, Jérémie Bazin s'intéresse à comprendre le rôle des mécanismes de régulation de l’épissage alternatif des ARNs dans la réponse au stress chez les végétaux. Ses recherches s’appuient sur l’hypothèse que ce mécanisme contribue fortement à l’adaptation des végétaux à leur environnement. Ses travaux utilisent une combinaison d’approches de biologie moléculaire, de génomique et de bio-informatique. Ils visent à comprendre : quels sont les mécanismes qui déterminent la spécificité de la régulation de l’épissage alternatif en réponse aux signaux environnementaux ? Quelle est la contribution de ce mécanisme dans l’adaptation des végétaux à leur environnement au cours de l’évolution, et en particulier dans le cadre du changement climatique.
08 Décembre 2021