- Présentation
- Recherche
- DGG : Département Génomique et Génétique du Développement
- REGARN : Les ARN non-codants, des acteurs de la plasticité développementale de la racine
- ChromD : Dynamique des chromosomes
- SILEG : Voies de signalisation contrôlant le développement du système racinaire des légumineuses
- FLOCAD : Développement floral et déterminisme du sexe
- Qlab : Equipe Génomique et épigenomique quantitative des plantes
- DPHYS : Département Physiologie et Signalisation
- PMIN : Département Interactions Plantes Micro-organismes et Réseaux
- DGG : Département Génomique et Génétique du Développement
- Enseignement
- Plateformes
- Bases de données
Bilan Carbone de l’IPS2
La recherche, comme toute activité humaine moderne, est très dépendante, directement ou indirectement, des énergies fossiles. Dans un monde où ces énergies sont en quantités limitées et associées à de fortes émissions de gaz à effet de serre perturbant fortement le climat, elle doit se réinventer pour diminuer cette dépendance.
Le groupe Activité de Recherche Soutenable (ARS) de l’IPS2 a présenté en réunion plénière les résultats de ses analyses quantitatives des gaz à effet de serre émis par l’activité de l’institut. Ce travail a été réalisé à l’aide de l’outil GES1point5 de Labo1point5. En 2019, année non impactée par la pandémie du Covid-19, les activités d’IPS2 ont généré au total 1 403 équivalents de tonnes de CO2, soit 18 tonnes par publication. 17% de ces émissions proviennent de la consommation d’énergie et notamment de gaz pour le chauffage du bâtiment 630, 13% des déplacements domicile-travail des agent(e)s, et 5% des missions professionnelles qui se font souvent en avion. Mais le plus fort poste, et de loin, correspond aux achats de matériels et consommables (> 60%). A la lumière de ce constat, l’institut s’engage à présent dans une période de réflexion sur la manière de diminuer son impact environnemental ...